DEVENUE BDSM

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il y a 8 ans

Tout a commencé après 7 ans de mariage deux de mes copines m’avait mis en garde sur cette année fatidique, où les couples se font et se défont.

J’étais allongée nue sur notre canapé la tête reposant sur des coussins, car je sortais de ma douche, Vivian avait posé mes jambes sur lui et je sentais que le fait de bouger commençait à le faire bander. Je l’ai taquiné et sa seule réponse a été une tape sur le côté de mes fesses qui m’a fait mal. J’ai crié, cela a semblé lui faire plaisir, il a recommencé avec le même résultat.

J’ai continué à le contrarier et comme réponse cela a été de redoubler de faire rougir mes fesses.

Il m’a retournée et elles ont vu, j’en avais les larmes aux yeux à deux doigts de partir en s a n g lots. Je me tortillais comme un ver de terre que l’on tient par un de ses bouts et qui cherche à se libérer. Plus je me tortillais et plus cela semblait lui faire plaisir. De mon côté sauf les larmes, ma haine montait de plus en plus envers cet homme que je côtoyais depuis plus de sept ans et qui osait me frapper. Si je me tortillais, c’était pour lui échapper et retourner chez ma maman.

Hélas, elle aussi m’a abandonnée aux mains de ce maniaque en partant habiter à New York avec un homme plus jeune qu’elle et qui pour tout dire a mon âge.

Et me tenir d’une main en me frappant de plus en plus fort de l’autre au point que je suis sûr qu’il commence à m’arracher la peau des fesses ou tout du moins me les rend écarlates, un de mes pieds lui échappe et en essayant de le rattr a p e r, les deux se trouvent libérés.

J’en profite pour pivoter sur moi-même et de chuter au sol sur ce fessier qu’il vient de martyriser. Une nouvelle fois il essaye de me rattr a p e r et la seule chose qu’il trouve, ce sont mes cheveux qui par le mouvement que je fais, tombent sous la main. Je tire, mais j’ai horriblement mal, c’est là que tous craquent en moi. S’il persiste à tirer, il m’arrache, une mèche de cheveux aussi je sens sa main relâcher sa pression.

Par ce mouvement de recul de sa main, il me fait voir qu’il m’aime alors je me relève et je pars en courant dans la première pièce qui s’offre à moi. C’est la cuisine et comme il m’a suivie, nous tournons autour de la table qui fait rempart entre nos deux corps. Pour me coincer, il pousse la table, mais il lui faut bien la contourner même s’il tend un bras par-dessus. Je lui échappe de nouveau et c’est dans la chambre qu’il me rejoint persuadé que je vais céder sur le lit qui nous tend les bras.

C’est mal me connaître, car jusqu’à peu, j’étais gymnase et j’en ai gardé une souplesse assez grande. Il croit me coincer dans la rigole du lit sur ma carpette, mais aussi agile qu’une chatte, j’arrive à sauter par-dessus le dessus de lit une nouvelle fois et à retomber de l’autre côté. J’oublie de l’attendre et je passe dans notre salle de bain où je repousse la porte. Je perds l’avantage acquis le temps qu’il fasse le tour du lit, j’espérais refermer la porte à clef, mais il la pousse avant que je réussisse ce geste. J’ai plus de souplesse, il est plus fort, aussi je dois une nouvelle fois céder, mais j’ai la chance de trouver la porte de la chambre d’amis ouverts.

Il me faut contourner le lit, car la porte donnant sur le couloir est-elle aussi fermée. Comme dans notre chambre, c’est en sautant sur le dessus de lit et dans le mouvement que je passe de l’autre côté.

Vivian essaye de me suivre, mais il chute lourdement. J’ai un instant peur qu’il se soit fait mal surtout aux cervicales, car il est tombé sur le cou, mais comme il se relève, j’ouvre la porte et je retourne vers le salon. Il est essoufflé et moi aussi, je me place derrière le canapé et j’essaye de reprendre ma respiration. Mal m’en prends, car il arrive courroucé que je lui échappe. C’est en poussant le canapé vers la cheminée comme il l’a fait avec la table de cuisine qu’il espère m’attr a p e r, mais en bonne sportive les deux minutes de repos mon permis de reprendre mon souffle. Je saute par-dessus et le temps qu’il relève ses mains, il essaye de me saisir et j’ai le temps de les sentir sur mon dos. Un de ses ongles me fait mal, mais je repars pour un deuxième tour de piste. J’ai beau être entraîné par rapport à lui, mais immanquablement la lucidité me fuit et je tombe en me recroquevillant derrière la porte d’entrée. C’est un cul-de-sac qu’il se dépêche d’exploiter.

Il me saisit alors que je me suis mise en position d’œuf. Sa main passe devant ma poitrine et vient glisser jusqu’à mon sexe. De son autre main, il détache sa ceinture et sort sa queue. Je suis en eau et je suis physiquement au bout aussi lorsqu’il me relève la croupe et que son sexe bandé par l’excitation de m’avoir attrapé, il me pénètre la chatte m’arrachant un râle de plaisir.

Depuis qu’il se sert de son sexe en moi, jamais il ne m’a pilonnée avec autant d’ardeurs. Jamais je n’ai crié aussi fort à chaque coup de boutoir qui le propulse au fond de ma vulve. Je suis sûr que sa verge pénètre beaucoup plus loin en moi que d’habitude.

Je suis certaine que mon vagin expulse deux fois plus de sécrétion que, lorsque nous avons des étreintes fougueuses, certes, mais bien moins intenses que ce qu’il me met en ce moment. Je suis incapable de dire le nombre de fois qu’il me fait jouir, mais des chapelets, des vagues de plaisirs, déferlent dans mon corps. À un moment, il sort de ma chatte me faisant pousser un cri de dépit, mais c’est pour mieux redonner de la voix lorsqu’il m’encule d’un seul trait sans aucune précaution.

Dans les minutes que je viens de vivre, je m’aperçois que c’est moi qui ai pris la position en levrette pour qu’il entre plus facilement dans ma rosette et c’est de nouveau une volée de claques que je reçois sur chaque fesse. Il les a tellement frappés que ses coups se muent en plaisir. Il se déclenche une nouvelle fois dans mon corps, mais pour la première fois depuis que j’accepte qu’il me sodomise, je jouis par le trou du cul. Au moment où pour lui la tension est trop importante, il me propulse des traits de spermes si importants qu’ils retombent sur mes jambes au moment où nous écroulons tous les deux au sol.

Je dois reconnaître que de ma vie, je n’ai autant eu de plaisir même si, avec le temps passé au sol, mon fessier me cuit énormément.

Nous avons dormi sur la moquette et lorsque je le sens bouger, je m’aperçois que même s’il a débandé une bonne partie de sa verge se trouve toujours dans ma rosette. Nous nous regardons d’une façon nouvelle que s’est-il passée dans notre couple et surtout dans notre rapport sexuel, les heures suivantes, nous donnera une partie de la réponse. En attendant, il nous faut ranger le capharnaüm provoqué dans notre appartement par notre cavalcade endiablée. Si chaque fois que nous voulons nous donner du plaisir, il nous faut refaire les lits, canapé et cuisine où la table et les chaises ont valsé de droite et de gauche, cela va rapidement devenir intenable.

Aussi lorsque après une douche, nous nous couchons sans prendre le temps de manger et que Vivian me prend dans ses bras, me cajole et finit par me faire l’amour le changement survenu en moi dans cette possession pleine de hard me manque.

Même lorsqu’il me caresse le clito moi qu’il y a peu démarrais au quart de tour, je sens bien qu’il me manque quelque chose. Pendant presque huit jours moi alors que j’aime qu’ils me sexent tous les deux jours, chaque fois que nous nous retrouvons, il bande, me pénètre et me laisse sur la touche malgré tous nos efforts.

C’est le jeudi qui suit que j’ai la certitude de ce qui nous manquent. Lorsque me sodomisant alors que je suis en position de levrette une belle claque sur mes fesses me fait démarrer quelques secondes l’ébauche d’un plaisir. Je suis vite déçue, Vivian de son côté semble ignorer le mal qui me ronge, car cette claque est la seule qu’il me donne et je retombe dans ma léthargie.

Le lendemain, je décide de prendre le taureau par les cornes. J’ai bien analysé que le sexe pour moi passe par une domination de mon mâle. Si je veux éviter qu’il aille chercher ailleurs une femme qui jouit ou moi un homme sachant m’apporter à chaque rapport ce que nous avons su déclencher derrière cette porte sur la moquette, il faut que je le provoque.

C’est sur des forums BDSM que je trouve les conseils de femmes et d’hommes ayant subi la même évolution dans leur corps au fil des mois et des années de mariage.

Afin de mettre la recette proposée par Défonce77 qui propose une solution assez bandante, je pars à Dijon, ville où personne ne me connaît et je vais dans un sexe shop à l’adresse relevée sur le site.

Dès que j’entre chez nous, je mets en pratique avec l’aide de ce que j’ai acheté ce qui m’a été proposé. Notre terrain de jeu sera la chambre d’amis qui est la seule à pouvoir recevoir grâce au lit à barreaux les deux paires de menottes que je fixe assez prêt l’une l’autre pour avoir la longueur nécessaire pour les attacher à mes poignets.

La semaine dernière les bruits que j’ai poussés semblent avoir gêné certaines voisines mère de famille, car nous étions derrière la porte en pleine journée alors que de l’autre côté il y avait l’ascenseur et leur regard réprobateur m’a fait prendre conscience qu’il faut faire un peu plus attention surtout au bruit.

Une heure avant que Vivian ne revienne de son travail, j’enfile la combinaison en latex noir.

J’ai acheté un modèle ou la seule partie dégagée du corps, ce sont mes parties intimes avant et arrière avec surtout un postérieur à la portée de celui qui va arriver. Pour le bruit, j’ai suivi le conseil et je fixe dans ma bouche une boule à bouche pouvant être mordue si je retrouve les plaisirs de la semaine dernière.

Enfin avant de m’attacher, je pose sur le lit une cravache, un gant de crin que Défonce77 préconise après une bonne phase de cravache.

Il reste la queue de mon homme que je peux stimuler s’il le veut. Ma combinaison possède une cagoule obstruant ma vue me permettant de me concentrer sur mon plaisir et un trou dégageant ma bouche afin que je puisse sucer la bite qui me sera proposée. J’ai conscience au moment où je mets tous ces artifices de devenir la femme-objet de mon mari. Qu’à cela ne tienne d’après ce que j’ai lu être une telle femme décuple le plaisir de celle aspirant à trouver un plaisir d’une très grande intensité !

Lorsque Vivian arrive, je suis dans l’impossibilité de lui faire savoir ou je suis. Je l’entends aller et venir dans l’appartement semblant pester contre mon absence. Il va même jusqu’à téléphoner à Aline mon ami pour savoir si elle m’a vue.

Défonce77 a oublié d’écrire que j’aurais dû flécher le parcours pour qu’il me rejoigne. Le plus beau c’est que la porte de la salle de bain est ouverte et qu’il prend une douche. Je bouge sur mon lit et je pousse des petits cris qui finissent par l’intriguer et je l’entends approcher de la chambre où je suis prête à me faire prendre et surtout martyriser.

Lorsqu’il comprend que je suis là, il semble avoir un moment d’arrêt, car pendant quelques secondes plus rien ne bouge. D’un coup comme mes yeux sont obturés le premier coup de cravache m’apporte directement, un orgasme venu du fond de mon cerveau.

Il me flagelle toujours plus fort et le bras certainement fatigué, le gant de crin au début m’apporte de la douceur pour terminer par me cuire deux fois plus que lorsqu’il me donnait des claques. Vient le moment où je le sens monter sur le lit et où il me pénètre me donnant plus de plaisir que dans notre couloir.

Vivian me prend comme une bête qu’il semble être devenu et après plus d’une heure de ce traitement, c’est dans ma bouche qu’il vient me donner mon repas du soir après avoir détaché la boule. Lorsqu’il a fini de prendre son plaisir, il me laisse seule à méditer ce que je ressens et surtout un immense amour pour celui qui a compris le besoin de v i o l ence qui s’est dégagé de mon corps après la première fessée qu’il m’a procurée sur notre canapé.

La seule chose qu’Internet pour retrouver la plénitude de mon plaisir, non, de nos plaisirs a oublié de préciser, c’est qu’il est parti manger me laissant dans mes liens que mes mains attachées restreignent mes mouvements et qu’au fil de la nuit cette épreuve me donne du plaisir.

Dommage que mes mains soient entravées, j’aiderais ma chatte qui coule toute seule à la déchirer en me pinçant le clito et en me fourrant un maximum de doigt dans le vagin.

Aujourd’hui, il y a deux mois que mon corps subi tous les plaisirs les plus frappants qui peuvent exister.

En ce moment, nous visitons le troisième pavillon dans la banlieue de notre ville, je crois que nous venons de trouver le must de ce que nous cherchons.

Les deux premiers bien sympas manquaient d’une cave si possible en forme de voûte que je sais exister dans notre région de vin où nous pourrons installer ma salle de t o r t u r e que nous avons commencé à monter dans la chambre d’amis où je passe de plus en plus de temps lorsque Vivian va à son travail et qu’il m’attache jusqu’à son retour…

QUELQUES LIENS

Nous vous invitons vivement à lire cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

Soyez prudents et surtout, ne faites JAMAIS de selfbondage avec du breath control (étouffement / contrôle de la respiration).

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